Photo sans auteur empruntée sur le net

Montagnes aux reflets bleu vert dans le lointain,

Grottes creusées dans les profondeurs des rochers,

Torrents vigoureux et plages blanches sans fin,

Ta végétation est luxuriante, c’est certain.

Cyclones tapageurs parfois ici et là,

Chaleur masquée par les alizés réguliers,

Brises marines tempérant ton chaud climat.

Ta température ne semble pas peser.

Produits de pêche pour te faire bien manger,

Broussaille desséchée sur un côté s’exhibe,

Culture exubérante de ta renommée,

Ton peuple est heureux dans la mer des Caraïbes.

Dans les bras d’un Harry Belafonte, enlacée,

Comme j’aimerai bien m’allonger sur tes plages,

Bercée par le son du reggae de Bob Marley.

Jamaïque, tu es mon beau rêve de voyage.

01 - Ô

02 - Ce

03 - Bon             

04 - Mais           

05 - Malin

06 - Enfant,

07 - Nicolas

08 - Complice

09 - Chahutant

10 - Délicieuse

11 - Pimprenelle

12 - Ensorcelante,

13 - Ensommeillant

14 - Tranquillement

15 - Téléspectateurs

16 - Téléspectatrices

17 - Vulnérabilisables

18 - Intellectuellement.

Ma grande amie crie, pleure sa pénible vie,

Et n’a plus confiance de l’effet de ses charmes,

Ses yeux inondés par un océan de larmes,

Me fixent d’une profondeur indéfinie.

Existe-t-il des jours heureux ?

Eve cherche son paradis !

Existe-t-il une vie à deux ?

Adam est l’espoir du mot oui !

Les faux-semblants gâchant sa vie

Font déferler des mots de haine.

Accroche-toi donc et sourit,

L’éden n’est pas un monde en peine.

L’impression de tomber de charybde en scylla,

Lui fait l’existence en traversée du désert,

Si tu reviens « femme fatal’ du cinéma »,

Alors, les puceaux deviendront des doux pervers.

Guignol, emblème de la ville de Lyon

créateur Laurent Mourguet vers 1808

La Crise sévit pour Laurent,

L’ouvrier en soie sur la paille

Devient arracheur de dents, aïe !

La Crise sévit pour Laurent.

Gnafron, guignol sont ses enfants,

Des gais pantins pour son travail,

La Crise sévit pour Laurent,

L’ouvrier en soie sur la paille.

Blonde Pimprenelle

Marionnette de toujours

Belle demoiselle

Nounours sans trêve

Et le marchand de sable

Guident vos  rêves

Morceau de gruyère

La généreuse souris

Dent de lait d’hier

Si j’étais Bourriquet, j’aimerais une maison,

Si j’étais Porcinet, je serais toujours inquiet,

Si j’étais Tigrou, je serais toujours gai luron,

Si j’étais Coco lapin, j’aurais un potager.

Si j'étais Maître Hibou, je serais plein de sagesse,

Si j’étais grand Gourou, je serais bonne maman,

Si j’étais petit Gourou, je serais en tendresse,

Si j’étais Jean-Christophe, je serais un bel enfant.

Mais voilà, je suis le timide petit ourson,

Toujours la truffe fourrée dans un grand pot de miel,

J’en suis friand, c’est mon unique péché mignon,

Moi, Winnie ne partage pas avec les abeilles.

Entre donc dans notre bande de joyeux copains,

Tous, nous habitons dans la forêt des rêves bleus,

Viens rire et t’amuser en nous prenant par la main,

Pour vivre quelques moments magiques et merveilleux.

Ah ! Si le président était l’oncle Picsou,

De nos sous, il les épargnerait à Bercy,

Plutôt que de faire à tort un énorme trou,

Il les dépenserait avec  parcimonie,

Pour les citoyens,  ne serait plus un voyou,

Mais le chef reconnu d’un peuple qui sourit.