Marchand ambulant
apéritif improvisé
Cendrillon
Mémoire de parapluie
Images empruntées sur le net
Le premier fût crée en Chine par l’empereur Wang Mang fondateur de la dynastie Xin
Le premier parapluie pliant a été créé à Paris par un commerçant Jean Marius vers 1705- 1710.
Originaire de la Chine,
Le parasol fût le premier
Abritant la dynastie Xin,
Originaire de la Chine.
A Paris, Jean Maruis l'affine
En pépin pliant par milliers,
Originaire de la Chine,
Le parasol fût le premier.
Mon toit nomade
Dessin emprunté sur le net
Quand bien même placé à l’entrée dans un bac,
Quand bien même camouflé au fond de mon sac,
Quand bien même oublié un jour dans un taxi,
Il ne sera pas le dernier de mes soucis !
Souvent, j’ai eu besoin de lui pour mes sorties.
Surtout dans les moments où le ciel s’obscurcit,
Que les cumulus se gonflent de gouttes d’eau.
Ah ! Voilà mon parapluie, je sors sans chapeau.
Alors je pense à Ginger et à Fred Astaire,
Valsant d’une légèreté sans commentaire,
Couple mystique des comédies musicales,
Sur le bitume trempé d’une rue royale.
Ou bien, je rêve de Gene Kelly dansant
Sa chorégraphie sur un boulevard luisant
D’un tapis de bruine cinématographique,
Tournoyant son élégant pébroc en public.
Ou à Jane Birkin sautant dans la gadoue,
Vêtue de ses belles bottes en caoutchouc,
Et me disant : - J’ai mon ciré dans ma Mini
Ayant délaissé mon « umbrella » à Paris.
Il protègera toujours le verbe s'aimer,
Il sera toujours complice de nos baisers,
Il abritera toujours nos petits mamours,
L'ami fidèle quand la pluie grise les jours !
Cent ans déjà
La marmaille
Image empruntée sur le net
Que se passe-t-il ? Quelle est donc cette bataille ?
Me levant d’un bond en tenue d’épouvantail,
Emmitouflée dans mon grand et douillet chandail,
Je vais rapidement vers la fenêtre et baille.
J’aperçois loin dans le jardin de la volaille.
Ces demoiselles endimanchées cacardent, braillent.
Ces belles végétariennes affamées se chamaillent,
Attrapent des larves d’insectes pour ripaille.
Je reste à regarder ces oies blanches et pinaille.
Quel amusant spectacle m’offrent ces canailles !
Vite, dans l’instant, j’avale des œufs de caille,
Et je sirote mon jus d’orange à la paille.
Après avoir ôté mon pyjama de maille.
Je ris d’entendre le chant de cette marmaille
Et vocalise en me douchant. Adieu grisaille !
A quelle belle journée avant d’aller au travail !
Dring...... dring......Allo Doc !
Sketch humoristique de personnages imaginaires qui débloquent
Ecrit avec Evelyne (voir Passent les jours...)
La patiente :
- « Docteur, je crois bien que j’ai un toc,
- A chaque fois que je parle, je me bloque,
- Tout le monde bien sûr, de moi se moque,
- Alors, depuis quelques jours, je soliloque. »
Le médecin :
- « Tout ce que vous me dites, m’interloque !
- Pour vous détendre écoutez un air baroque,
- Mais surtout, évitez de danser un rock,
- Je vous rappelle que vous êtes en cloque. »
La patiente :
- « Mais, mon mari perd souvent son froc,
- D’ailleurs, j’en rie comme un phoque,
- En plus avec son accent d’amerloque,
- Je le trouve vraiment un peu loufoque ! »
Le médecin :
- « Ah ma pauvre Dame, quelle époque !
- Mais se plaindrait-il de ses breloques ?
- Peut-être qu’elles s’entrechoquent ?
- Ou bien encore qu’elles se disloquent ? »
La patiente :
- « Je ne sais plus, je suis sous le choc,
- Depuis nos vacances dans le Languedoc,
- Notre vie est faite de bric et de broc,
- Et nous buvons un peu trop de Médoc. »
Le médecin :
- « Alors tous les deux, je vous convoque,
- Et je vous donnerai plutôt des médocs,
- Après tous les examens au microscope,
- Peut-être avez-vous un méningocoque ? »
partenaire particulier cherche partenaire particulière
photo empruntée sur le net (africansafari).
Au matin, je t’ai dit que je t’aimais beaucoup,
Beaucoup de poutous mouillés laissés sur ton corps,
Corps langoureusement allongé, j’en suis fou
Fou de toi, ma merveille, mon petit trésor.
Trésor, j’ai adoré caresser ta fourrure,
Fourrure étant si soyeuse et si doucereuse,
Doucereuse, elle dessine ta ligne si pure,
Pure est ta jeune allure qui rend amoureuse.
Amoureuse est ma tendre amie très câline,
Câlines, c’étaient nos luttes en regards félins,
Félins, c’étaient nos bisous ma jolie coquine,
Coquines, c’étaient nos galipettes au matin.
Poutou : nom masculin, onomatopée qui signifie dans le midi de la France – baiser- bisou.