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Les petits poèmes de Babette
Les petits poèmes de Babette
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4 juillet 2017

Les chemins de la vie (suite du poéme "main dans la main"

lettre avec un coeur

(dessin emprunté sur le net)

 

Il y a longtemps, souviens-toi, tu me disais,

Nous vieillirons ensemble ma main dans ta main,

Dans ces moments, nous avions  cru aux lendemains

Quand nos deux cœurs vibraient dans un rythme parfait.

 

Les temps changent, tu es parti vagabonder

Dans un monde où ton esprit vivait le chagrin,

Sans savoir arrêter cet insensé chemin

Balisé par beaucoup de tourments du passé.

 

Depuis, je suis seule à attendre ton retour,

Dans l’espoir de revoir dans tes yeux mon amour

Et de pouvoir embrasser l’être de ma vie.

Reviens te blottir dans mes bras en amoureux,

Et prends la chance de flirter sans souci

Pour recommencer à deux un parcours heureux.

 

 

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4 juillet 2017

Si l'histoire m'était contée

 

la liseuse

(Image du tableau de Fragonard empruntée sur le net)

 

Assise tout près de l’âtre et je l’admire,

La lueur d’une bougie éclaire son visage

En lisant tranquillement comme une enfant sage,

Elle ne bouge pas, superbe statue de cire.

 

Ses jolies lèvres dessinent quelques sourires

En tournant dans un geste délicat les pages,

Et aux vues de cette demoiselle sans âge,

Tous les écrivains doivent jalouser Shakespeare.

 

Rien dans la maison ne lui fait lever les yeux

De son recueil racontant l’histoir’ d’amoureux,

Celle du couple de Roméo et Juliette.

La larme brille dans son regard d’ingénue,

Sur la fin tragique de la tendre amourette,

Laissant la liseuse dans un émoi déçu.

 

 

1 juillet 2017

Ma déclaration (Sonnet de France dit de Pelletier).

 

 

note de musique

 

(Image empruntée sur le net)

 

L’amour de la vie qui m’anime est éternel

Et ne sépar' pas les adeptes du bonheur.

Le feu de tes yeux est mon unique chaleur,

Quand mon cœur brille à la flamme d’une chandelle.

 

J’aimerai te chantonner une ritournelle,

Pour t’amadouer et attiser tes faveurs,

Je partagerai tes petits moments d’ardeur,

Alors, j’enlèverai mes habits de pucelle.

 

Ne soyons plus maintenant des jeunes enfants,

Mais plutôt des grands à flirter sans lendemains,

Réagis mon ami, prends ma main sans attendre.

 

Ne jouons plus à nous envoyer des messages

Viens avec moi, ne laisse plus mon âme en cendres.

 En enfermant la solitud' dans une cage,

 

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