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Les petits poèmes de Babette
Les petits poèmes de Babette
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14 août 2016

Texto de tendresse à mon Ex

portable en main

Je suis devant mon petit déjeuner,

J’ai pour toi une gentille pensée.

Ta semaine de congés est finie !

S’est-elle passée sans aucun souci ?

As-tu pris de magnifiques couleurs ?

As-tu sauvegardé ta bonne humeur ?

Poème de bienvenue au boulot,

Au forçat du travail ce bel héros,

Tout plein de bisous d’accompagnement,

Pour ta première journée sans tourment.

Si tu veux me conter ton escapade,

Je serai pour toi ta Shéhérazade,

Même sans le voile du Sahara,

Au magasin  tu me reconnaîtras,

En ce mois d'août, maintenant frisquet,

Le soleil a déjà fait sa rentrée.

 

Ce matin j’avais l’âme poétesse,

Même sans réponse à mon sms

Ce n’est pas un message de diablesse,

Mais un pur moment d’esprit qui caresse.

 

 

 

 

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11 août 2016

Félicitations

maternité


Un petit coucou de Cambrai
Un petit bisou à tous les deux
Un câlin à mon futur petit neveu
Au sein d'un nid douillet et parfait.

Quelques mots pour vous dire bonjour
Quelques mots pour vous dire merci
D'être des neveux si doux et gentils
D'être la félicité du couple amour.

 

 

 

 

1 mai 2016

Joie et Bonheur

VIVE-le-1er-mai2

 

 

f07d492c

Quelques brins de ce joli muguet,
Donneront des sourires à vos visages,
Avec ce beau mois de mai,
Ils seront éternels et sans nuage.

Joie et bonheur est un message,
Réalisable pour vous mes chéris,
Joie et bonheur n'est pas un mirage,
Est un voeu pour toute votre vie.

 

GROS-BISOUS55GIF

 

26 avril 2015

Hommage à Titi

titi

Cette histoire est vraie :
Quand j'étais enfant, maman avait l'habitude de sauver des petits oiseaux tombés du nid
Avec tendresse, elle les soignait jusqu'à ce qu'ils reprennent des forces et puis elle les laissait partir.
Un jour un de ses petits protégés est resté pour vivre sa vie en toute liberté dans la maison
jusqu'à son dernier jour. Par ce poème je rends hommage à cet oisillon qui nous a donné
du grand bonheur et que nous avions prénommé Titi

 

Petit oiseau des villes, tu es tombé du nid,

Ta bienfaitrice, sous l’arbre te ramassa.

Tu étais tout ébouriffé, tout groggy,

Au creux de sa main, elle te cajola.

 

Sur un douillet coton tout immaculé,

Elle t’y déposa, tes yeux étaient mi-clos.

Dans ton bec, elle mit pour te soigner,

Une bouillie de pain et de lait chaud.

 

Minuscule volatile, tu t’es assoupi,

Gentiment dans ton lit, bien rassasié.

Comme un enfant, elle t’a admis,

Dans sa demeure pour te protéger.

 

Le temps a passé, elle t’a apprivoisé.

Tu étais libre, aucune cage pour toi.

 Les portes et fenêtres entrebâillées,

Tu as préféré rester sous son toit.

 

Inventant des jeux avec la tourterelle,

Autre locataire recueillie par maman,

Tu attrapais les plumes de ses ailes,

Ta vie était faite de bons moments.

 

Le soir, perché sur l’épaule de papa,

On aurait dit que tu regardais la télé.

En compagnon de soirée, sympa,

Tu fixais  l’écran sans bouger,

 

Mais un jour, on t’a cherché partout,

Derrière une porte, tu étais couché.

Nous étions sens dessus dessous,

Ton petit corps était inanimé.

 

 Dans ses mains Maman t’a pris,

Tout doucement, elle t’a caressé.

Ton âme s’était envolée au paradis,

Depuis ce jour, tu t’es mis à chanter.

15 avril 2015

Pur bonheur

Pur bonheur

 

Mon escarcelle n’est pas bien remplie,

Un peu fauchée, je compte avec souci,

Cela m’évite les folies des magasins,

Et me conditionne en achats malins.

 

Je pars allègrement toute pimpante,

A l’assaut des galeries débordantes,

 Je trottine perchée sur mes escarpins,

Dans les rayons, mon petit sac à la main.

 

Je flirte avec d’alléchantes promotions,

Alors, mon ange gardien dit attention !

Sincèrement, je m’égaye à chaque fois,

Quand je franchis les antres du choix.

 

Mon corps tremble de renversants frissons,

A la vue des tissus de couleur au diapason,

Je papillonne entre ces étalages attirants,

Et saisit plusieurs beaux vêtements.

 

Dans la cabine, jubilant de bonheur,

Je m’admire pendant des heures.

La vendeuse trépigne, impatiente

Mais conseille mes désirs d’élégante.

 

Le désarroi m’envahit en un instant,

Les étiquettes sont un calcul de titan.

 Pas née dans la famille de l’Oncle Sam,

Je rends mes trésors la mort dans l’âme.

 

Je me contente d’un tee-shirt en achat,

Et l’essayage en est un moment extra.

La conseillère déclame des réductions,

Alors, j’en prends deux avec émotion.

 

EPILOGUE

 

Je ne suis pas la reine du shopping,

Mais plutôt, celle du lèche vitrine,

Pourtant, j’aimerais tant participer,

A l’essor de l’économie de marché.

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29 mars 2015

Chocolat bonheur !!!

Hum!!!!! les chocolats de Pâques,

Ca rend Babette très poétique....

lapin de pâques

 

 

S’il était mon petit lapin,
Je croquerais son joli nez.
A l'amour sans faim de mes heures,
S’il était mon petit lapin.

Je pourrais goûter sa saveur,
Au festin Pascal à mon gré.
S'il était mon petit lapin
Jamais ne resterait entier.

 

 

Alors, alors…….

J'ai tout  mangé le chocolat et je me suis bien régalée !!!

25 mars 2015

Quelques jours plus tard !

Notre Babette nous fait la suite du poème

"Si j'étais un homme, je serais...."

 

baise main

 

Un matin, revenant flâner sur le sentier,

Je vis le jeune homme, son chien à ses côtés,

Il pleuvait une douce et fine bruine, je me souviens,

Un timide rayon de soleil matinal traversait ce crachin.

 

La brise soulevait sa brune crinière,

Offrant un visage d’une élégance princière,

Quelques perles de pluie luisaient sur son front,

Tandis que ses yeux brillants scrutaient l’horizon.

 

Dans cette allure divine,

Quelle belle prestance masculine !

Vêtu d’un pantalon de flanelle couleur pâle,

Sa chemise blanche en rehaussait son doux hâle.

 

Mes escarpins s’enfoncèrent dans le sol,

Et à ce moment j'en perdis la boussole,

Pourtant en frivole, je ne voulus point passer,

Mais tant pis pour le protocole, j’osai l’interpeller.

 

Je m’entendis dire en l’abordant,

Ces quelques mots banals et innocents,

« Bonjour, Monsieur » clamai-je en petite sibylle.

«Bonjour, Mademoiselle» répondit-il d’un air juvénile.

 

Le cœur bouleversé, le corps frissonnant,

Je rassemblai mon courage et dis dans un élan,

« Voulez-vous m’accompagner au village d’à côté »

Tendrement il prit ma main, y déposa un délicat baiser.

 

Tel un chevalier servant, il saisit mon bras,

Pour m’accompagner vers les maisons en contrebas,

Tous mes sens en émois s’enivrèrent de son parfum viril,

Et dans ce léger nuage d’insouciance commença notre idylle.

 

 

EPILOGUE

Quand le réveil se mit à sonner au petit matin,

Le rêve prit fin, le passé n’était plus au chagrin,

En résumé, Cartland, l'écrivain de mon enfance,

Protège encore mon sommeil de ses douces romances.

17 mars 2015

Si j'étais un homme......je serais romantique !!!

Et voilà maintenant que Babette fait dans le romantisme !

 

Tapisserie Jeune fille à l'ombrelle

Tapisserie en demi-point de croix, réalisée par sa  maman.

 

Je me promenais, avec mon chien,

Le nez en l’air, ne faisant rien.

Au soleil, un après midi à la campagne

Dans une nuée de jupons couleur champagne,

Surgit une belle demoiselle panier en main,

Qui longeait seule, le sentier avec son pain.

 

Tout en arrivant vers moi,

Elle mit mon cœur en émoi,

Cette jolie jeune fille m’éblouit,

Ce tableau magique me pétrifie.

Quelle fraîcheur d’antan !

Quel romantisme affolant !

 

Tous ces rubans autour de sa taille,

Que de petites mains ont cousus sans faille,

Cette robe d’organdi si finement brodée,

Que Paco en aurait voulu la dédicacer.

Un ange passe, un silence se fait,

Un frisson me parcourt, je reste muet.

 

La beauté raffinée de son ombrelle,

Protégeant son doux visage rebelle,

Est le fruit de tant de labeur,

Qui fait la fierté de son créateur.

Petites bottines lacées trottinant sur le sentier,

Donnent envie de danser un menuet endiablé.

 

Petits gants de dentelle finement ciselés

Cachant la jeunesse de sa peau halée,

Je brûle d’envie de lui parler,

En lui tenant la main à tout jamais. 

Une boucle de ses cheveux m’affole,

Le parfum de sa toison dorée s’envole.

 

Elle embaume le sentier tout entier,

Le temps s’arrête comme figé,

Moment précieux, moment amoureux,

Vivre à deux, c’est fabuleux !

Mais elle a continué son chemin,

En s’éloignant son panier à la main.

 

Avec mon chien, je me suis retourné sur elle,

Sur cette créature si merveilleusement belle,

Je suis resté planté là, la regardant partir,

A l’horizon, mon amour vient de s’évanouir.

Homme qui es-tu ? Que fais-tu ? Réagis !

Tu viens de rater la femme de ta vie.

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